PageWriter, la suite COREL et d’autres encore en firent les frais. Ils étaient pourtant considérés parfois comme mieux conçus, plus complets, plus performants ou plus élégants. Les formats « pivot » comme le RTF (Rich Text Format) promettant de conserver certains attributs de mise en page et de typographie permettaient d’afficher une compatibilité de façade sans pour autant permettre de substitution réelle ou de collaboration effective entre logiciels différents.